Focus

Comment améliorer sa clarté mentale grâce à l’alimentation

Rêvez-vous d’avoir une clarté mentale en toute situation ?

Afin de pouvoir décider, agir et tenir vos engagements ?

Mais connaissez-vous ces matins où votre tête est dans le brouillard ?

Parfois, c’est aussi le cas durant la journée.

Le plus souvent, après les repas.

Vous le savez, « enlever » ce brouillard est difficile. Cela vous met dans un état d’indécision, de débordement émotionnel et parfois même d’anxiété.

Vous tentez certains jours de pratiquer une activité méditative : marcher dehors, respirer, tricoter, méditer ou visualiser. Ces activités sont toutes utiles, évidemement.

Elles contribuent à diminuer votre stress, anxiété et favorisent un état de clame.

Elles aident à diminuer le brouillard mais vous vous en doutez, c’est souvent temporaire.

Car cette clarté mentale, tant recherchée, qui vous permet de vous concentrer sur le travail (aka le Focus) ne dépend pas uniquement de votre état mental.

Elle vous permet, certes, de faire ce que vous avez à faire, de prendre des décisions en alignement avec vos envies ou à respecter vos engagements.

Mais il y a une autre raison à cette défaillance.

Le plus souvent, les carburants que vous donnez à votre corps ne sont pas bien ciblés.

D’autres fois, pour remédier à cet état de « brouillard » mental vous usez (et abusez) de substances comme la caféine, la théine ou le sucre.

Ces substances dérèglent la production d’insuline dans le corps et contribuent très efficacement à maintenir le flou mental.

Alors, la question est de savoir comment utiliser l’alimentation pour favoriser la clarté mentale.

Connaissez-vous ces matins où votre tête est dans le brouillard ?

Bien choisir ses aliments

Tout le monde parle de manger « sainement ».

Et la plupart du temps, vous partez avec la plus grande des motivations pour le faire.

Sauf que.

Il y a ces émotions difficiles à digérer.

Il y a cette perception de manque de temps pour préparer des aliments frais.

Et on finit

 

commander une pizza. Ou grignoter du fromage et chips avant le dîner.

Il n’y a pas de mal à en consommer de temps en temps, évidemment. Cela devient problématique lorsque la proportion d’aliments « non frais » et transformés est plus grande que les aliments frais.

Une astuce simple pour parvenir à trouver un équilibre est d’ajouter des aliments frais et verts à chaque repas, du gras non saturé ainsi qu’un apport en protéines.

Car l’apport en protéines permet d’éviter les coups de fatigue et le besoin de consommer la prochaine catégorie, j’ai nommé les addictifs.

Réduire les addictifs et bien s’hydrater

La tête dans le « brouillard » ? Un petit café pour y remédier ?

Et puis un autre. Encore un autre.

Peut-être aussi un thé.

Et pourquoi pas un petit gâteau ou une demi tablette de chocolat ?

Un petit verre de vin, la journée était « tête dans le brouillard ».

Toute cette consommation, tout au long de la journée, pour résoudre une difficulté mentale, contribue plus qu’efficacement à maintenir le brouillard mental.

Il ne s’agit, évidemment pas, de se priver mais de réduire la consommation de ces substances pour sortir du brouillard.

Une alimentation riche et variée ainsi qu’une hydration optimale sont les meilleurs garants de clarté mentale et de regain d’énergie.

L’organisme nécessite, en moyenne, 1,5 litres d’eau pour fonctionner correctement or la caféine, le sucre ou l’alcool contribuent à une déshydratation du corps.

Manger en « pleine conscience »

Ce n’est pas une injonction à la mode, vous connaissez mon point de vue de ces tendances !

Un des constats que j’ai pu faire (sur moi-même d’abord) mais aussi en observant les comportements alimentaires de mes clientes est simple : nous avons perdu la connexion avec nos sensations de faim et de satiété.

On mange car c’est l’heure de manger.

On mange la quantité qu’il y a dans nos assiettes, car on a appris à finir notre assiette (souvent car il y a des enfants en Afrique qui meurent de faim).

Sauf que finir nos assiettes abondantes ne résoudra malheureusement pas les problèmes de famine en Afrique.

Manger lorsque l’on n’a pas faim, non plus !

Quand on observe les bébés, ils ont cette sagesse nutritionnelle innée.

Ils/elles savent manger quand le besoin de manger est présent (et savent le communiquer, parfois bruyamment !).

En réalité, manger en pleine conscience est juste cela.

S’observer pour savoir si on a besoin de manger, si on a encore faim ou si on a assez mangé. Reconnaître ces sensations innées, pour retrouver une clarté mentale.

Personnellement, dans mon enfance, je n’ai jamais pris de petit-déjeuner (d’aussi loin que je me souvienne), car je ne ressentais jamais le besoin de manger au réveil.

Une version du jeûne intermittent, très trendy de nos jours.

Mais mon constat est sans appel depuis que je me suis reconnectée à ce « non besoin » de manger le matin : j’ai tout simplement amélioré mon niveau d’énergie et ma clarté mentale.

En mangeant en pleine conscience, on SAIT quand on a faim. Et on sait quel carburant donner au corps pour optimiser la clarté mentale.

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